Paroa

Lever pluvieux à Nelson. Décidemment on ne verra pas cette ville sous le soleil, ou tout du moins sans la pluie. Breakfast traditionnel à l’Orangerie et en route vers le Sud. Nous utilisons à fond le forfait « essuie-glasses » compris dans le prix de la location du véhicule… et nous nous attaquons aux Alpes (c’est le nom du massif montagneux).Kilomètres faisant, la pluie diminue quelque peu ce qui nous permet de sortir un peu la tête de la voiture et prendre des photos des sommets enneigés.

Quelques jolis points de vue sillonnent notre parcours tandis que tout doucement la pluie cède la place à un temps couvert puis à quelques éclaircies. Mais la température a chuté et nous avons à peine du 10°-12°. Juste après Westport, nous retrouvons notre « Tasman Sea », sur une côte très sauvage. Nous avons laissé tomber la recherche de l’or dans les mines qui fleurissent dans ce secteur et qui sont les témoins d’un passé fiévreux et avons préféré nous arrêter sur quelques curiosités géologiques à Punakaiki (photos). Outre la beauté visuelle du site, il y a le grondement de la circulation de l’eau dans les entrailles de la roche : assez impressionnant ! Ajoutons à cela que le soleil est revenu et nous a permis cette petite balade plutôt sympa même si elle fut parfois un peu humide en raison des jets d’eau et de l’écume.

Arrivé sur Greymouth en début d’après-midi, aucune difficulté à trouver notre point de chute qui se trouve un peu plus au Sud, à Paroa : il n’y a qu’une route… Accueil sympa des gérants de l’établissement qui nous conduisent dans notre bungalow hyper spacieux : 3 chambres, séjour, cuisine américaine, coin repas, et superbe salle de bain avec spa. Petite balade vers la plage, mais celle-ci est inaccessible d’où nous sommes. On se contentera de prendre une nième photo de moutons… et rentrons dans notre bungalow pour sélectionner notre restau de ce soir.

En fait, ce n'était pas la peine de sélectionner un restau parce que Greymouth le soir c'est ville morte... D'abord le restau que nous avions sélectionné était fermé et nous nous sommes rabattus sur une pizzéria dont je recommande l'adresse (en privé) si vous mourez de faim... Il y a beaucoup à raconter et comme les Mo me sont comptés, je vais abréger!

Mais l'essentiel est que tout va bien.